Adolescente, Simone a dévoré les romans d’Émile ZOLA et adoré la saga des ROUGON-MACQUART. Elle s’est passionnée pour les aventures des membres de cette famille au travers des générations, des territoires et des milieux socioprofessionnels différents. D’ailleurs, quand elle sera en congés mat’ enfin si DNLP le permet, elle relira ces romans. Elle se l’est promis. Il y a déjà déjà de longues années.
Elle a aussi lu des nouvelles du cher Émile dont une qui l’avait fait étonnamment sourire à l’époque. L’humour n’est en effet pas le premier mot qui vient à l’esprit quand on pense à ZOLA.
La semaine dernière, Simone est retombée sur cette fameuse nouvelle. Elle l’a relue avec ses yeux d’adulte et s’est cette fois-ci très franchement esclaffée. Figure-toi que, de une, l’histoire parle d’un couple infertile, et que, de deux, le ton est très osé, voire franchement grivois. Très second degré en fait.
Alors, comme c’est une bonne manière de vivre mieux l’attente en PMA, Simone vous conte cette drôle histoire de PMA du XIXe siècle. Comme toujours, c’est pour de rire, elle ne veut pas blesser et espère que personne ne lui tiendra rigueur de se marrer avec les couples infertiles. En l’espèce, c’est Monsieur qui semble avoir des difficultés.
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Le titre : Les coquillages de M. Chabre
Le pitch :
Au bout de 4 ans de mariage, Monsieur et Madame Chabre n’ont toujours pas d’enfant. Monsieur Chabre est un bourgeois ventripotent fortuné de 45 ans marié avec Estelle, une grande et belle femme de 22 ans. Le mari se plaint régulièrement au médecin de l’infertilité de leur couple. De guerre lasse, celui-ci lui conseille alors de partir pour les bains de mers et, surtout, de manger des coquillages, beaucoup de coquillages. Le couple se rend donc en villégiature à Piriac, non loin de Guérande, où ils font la connaissance d’Hector, un beau jeune homme. Monsieur Chabre n’aimant pas se baigner, c’est Hector qui accompagne gentiment son épouse Estelle tous les après-midi à la plage. Hector l’accompagne aussi à la pêche à pied. Plus les jours passent, plus les deux jeunes gens passent de temps ensemble. Un jour en fin d’après-midi, ils sont même surpris par la marée remontante et doivent s’abriter durant 2 heures dans une grotte dénommée « La Grotte à Madame » avant de pouvoir regagner le chemin en haut des falaises. Monsieur Chabre est content qu’Hector se dévoue ainsi pour distraire et protéger son épouse car cela lui laisse le temps d’avaler beaucoup de coquillages… De retour à Paris, 9 mois après, Estelle accouche d’un garçon. Monsieur Chabre est enchanté et félicite le Docteur de ses judicieux conseils en matière de vacances et de coquillages.
Émile nous parle
Les quelques lignes consacrées à l’infertilité en tant que telle raisonnent étrangement à nos oreilles d’infertiles du XXI e siècle.
Émile décrit bien les ravages de l’infertilité sur la joie de vivre des couples : « le grand chagrin de M. Chabre était de ne pas avoir d’enfant (…) depuis 4 ans, il attendait, anxieux, consterné, blessé de l’inutilité de ses efforts« . Il évoque même la science qui « est encore en retard » !
Le fameux conseil tant entendu de partir en vacances est aussi traité avec ironie par Émile qui sait bien que cette fausse solution n’est qu’un pis-aller.
Le médecin malicieux au service de la fertilité
Le docteur Guiraud est le médecin de famille qui a bien compris que le problème vient du mari. Face au désarroi de M. Chabre, il lui explique que « non, on ne plant(ait) pas un enfant comme un chêne ». Histoire de prescrire quand même quelque chose, il conseille au couple de partir pour les bains de mer et surtout de manger « beaucoup de coquillages » car « on a vu le traitement réussir« .
Déjà, on se doute qu’il est malin le doc’ car d’un côté il conseille au mari de manger « des moules » et de l’autre il lui dit clairement que « Mme Chabre (…) a besoin de distractions« . Bref, il ne sait peut-être pas encore doser du Gonal, mais il a bien compris que le voyage et les coquillages ne résoudront rien en eux-mêmes. L’essentiel est que Mme Chabre change d’air et fasse des rencontres distrayantes.
Le gros ballot de mari
Monsieur Chabre est l’archétype du bourgeois du XIX e siècle dans toute sa splendeur : marchand de grain devenu rentier, obnubilé par l’argent, radin, ventripotent… Rien pour lui le pauvre bonhomme. Émile se moque ouvertement de son personnage lorsqu’il décrit « sa face blême, usée par les soucis de l’argent, (…) plate et banale comme un trottoir« . Il en rajoute une couche en le faisant carrément passer pour un beauf avec cette sentence d’anthologie : « Il se désespérait car un homme qui a gagné cinquante mille francs de rentes a certes le droit de s’étonner qu’il soit plus difficile d’être père que d’être riche ».
On comprend que l’infertilité du couple est due au mari mais celui-ci n’a pas l’air de s’en rendre compte. Ainsi, quand il s’en plaint, sa femme lui répond perfidement : « est-ce ma faute?« .
Ils s’y mettent tous pour ridiculiser le mari. Tandis que Émile décrit le rapprochement entre Estelle et Hector qui profitent bien des plaisirs du bord de mer, M. Chabre « se bourrait de coquillages, matin et soir, avec une conviction d’homme qui s’administre une médecine« . En plus, il n’aime pas trop ça les coquillages, mais il veut tellement être père qu’ « il aurait avalé les coquilles, s’il l’avait fallu, tant il s’entêtait dans son désir d’être père« .
Hector réussit la prouesse de devenir « le grand ami de M. Chabre » et celui-ci lui confie même « le motif de leur voyage, tout en choisissant les termes les plus chastes pour ne pas offenser la pureté de ce grand garçon ». L’andouille. Du coup, Hector « lui fit manger des moules superbes » et lui apporte des coquillages. Et M. Chabre est « enchanté » car tout radin qu’il est il n’a « plus à débourser un sou« . Double andouille.
Pendant ce temps-là, Estelle se bâfre de pain et consent tout de même à picorer quelques coquillages sous l’insistance de son mari. S’il n’était pas aussi fat, étroit d’esprit et ridicule, on finirait par avoir de la peine pour lui, tiens.
Estelle, pas si innocente qu’elle en l’air
Estelle est belle, jeune, avec une « éducation parfaite » et très appréciée dans son cercle bourgeois. D’emblée, Émile souligne le déséquilibre dans le couple en mentionnant des signes du tempérament d’Estelle « qui auraient inquiété un autre mari qu’un ancien marchand de grain« .
On comprend vite que ce mariage est arrangé, nous sommes au XIX e siècle rappelons-le. Estelle n’a pas l’air d’en souffrir plus que ça, elle prend son mal en patience et profite des bons côtés de sa vie bourgeoise.
Elle joue parfaitement son rôle d’épouse convenable-comme-il-faut, une « femme paisible et souriante, comme si elle ne comprenait pas ». Il y a de l’Emma Bovary dans son personnage : elle se réfugie dans les romans pour oublier son quotidien peu excitant.
Estelle est une petite maligne qui sous des airs de jeune bourgeoise ingénue, sait parfaitement comme attirer et exciter le bel Hector. Et puis, ça les fait bien marrer tous les deux cette histoire de coquillages : « les coquillages de M. Chabre les amusaient ».
Le si complaisant Hector
La première fois, il est décrit par Émile comme « un grand jeune homme, d’une vingtaine d’années « , d’une « grande beauté« , sortant de l’église avec sa maman.. Comme jeune homme bien sous tout rapport, ça se pose là. D’ailleurs, M. Chabre le trouve « bien doux, bien honnête« .
D’emblée, il sait se rendre indispensable pour renseigner sur les coins à coquillages et soulager M. Chabre – qui n’aime pas l’eau – du devoir d’accompagner sa femme se baigner.
Hector en prend aussi méchamment pour son grade sous la plume d’Émile : il « semblait avoir une innocence de vierge, car il communiait tous les huit jours, ne lisait jamais de romans, et devait épouser à sa majorité une cousine à lui, qui était laide« .
Émile est grivois
Dans cette nouvelle, sous une première apparence très convenable, le champ lexical de la salacité et de la fornication est en réalité très touffu et fouillé. Quelques exemples à la volée :
- « il file raide » : à propos d’un poisson
- « les cochons » : au sujet de cochons
- « se mêlaient », « une, en l’air », « le cou raidi », « musique rauque », « jetant un cri » : ici, ce sont des d’oies
- « la queue des fidèles (…) pareille à un troupeau débandé » : là une procession religieuse
- « des miaulements de chattes amoureuses, dont on voyait les silhouettes hérissées et les grandes queues balayant l’air » : ben, des chattes…
- « elle étouffait (…), les mains à son corsage, renversée en arrière pour reprendre haleine » : Estelle court sur la jetée et ça l’essouffle, visiblement…
- « le cri se mourrait avec l’eau qui se retirait, dans un murmure plaintif d’amour dompté » : la marée, bien sûr
- « on va y chercher des moules » : des moules, what else?
- « la pointe commence à se montrer » : il s’agit d’une roche
- « Estelle et Hector s’apprêtaient à donner leur premier coup de filet » : ils sont à la pêche là
- « Ils fouillaient les trous (…) avec des grands cris » : oui, ils sont toujours à la pêche
- « un étroit passage, (…) une sorte de fente, qui baillait entre deux énormes blocs » : Émile nous décrit la falaise
- « Jamais Estelle ne s’était senti pénétrée d’une volupté si vaste et si tendre » : Estelle est contente, elle regarde la mer
- « le Trou du Moine Fou », « la Grotte du Chat », « la Grotte à Madame » : noms de grosses fissures dans la grosse falaise au bord de la grosse mer
Espérer qu’Émile décrive l’acte en lui-même avec forces détails, c’est être forcément déçu. C’est ZOLA, quand même, il a un rang de sérieux littéraire à tenir. Sur la chose précise, il est donc plutôt elliptique. Le décalage produit est hilarant. Ce qui est troublant pour nous les infertiles c’est que le terme choisi pour évoquer la consommation sexuelle est celui de « fécondité ». Comme le passage est court, je vais vous le citer intégralement.
Contexte : M. Chabre ayant peur de l’eau, il se promène sur le chemin en haut de la falaise alors qu’Estelle et Hector sont en bas, les pieds dans l’eau. Ils sont suffisamment proches pour pouvoir se parler. M. Chabre tient avec lui le panier de coquillages qui constituera le dîner. La marée montante arrive fort opportunément ce qui bloque nos deux jeunes gens : ils sont obligés de se retirer dans un grotte – la « Grotte à Madame » – avant de pouvoir accéder à nouveau au chemin pour remonter sur la falaise. Il y a en pour 2 heures d’attente, c’est ballot. Et le gros M. Chabre a déjà très faim.
« A l’entrée de la grotte, l’eau avait une longue plainte, tandis, que sous la voûte, un dernier reste de jour venait de s’éteindre. Une odeur de fécondité montait des vagues vivantes. Alors, Estelle laissa lentement tomber sa tête sur l’épaule d’Hector. Et le vent du soir emporta des soupirs.
En haut, à la clarté des étoiles, M. Chabre mangeait ses coquillages, méthodiquement. Il s’en donnait une indigestion, sans pain, avalant tout. »
Voilà, voilà.
Nous pouvons déduire de cette histoire une morale tout à fait moderne qui tient en 2 points :
1/ partir en vacances ne se suffit pas en soi-même pour tomber enceinte,
2/ la fécondité reste, quoiqu’on veuille, une affaire de moules et de grottes.
***
Simone part se requinquer quelques jours au bord de la mer AVEC SON HOMME : l’air iodé, les beaux paysages, les balades, toussa toussa. Et les coquillages. Et les moules aussi, oui.
Merci Simone pour ce bel article, je m’endors avec le sourire 🙂
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Bonne nuit ma belle 🌙✨✨
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C’est vraiment excellent à tout points de vue. Je trouve ton texte extra, très intéressant. Littérature/infertilité autre époque
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Ton commentaire me touche beaucoup Irouwen, merci beaucoup!
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Quelle belle étude d’œuvre !!!
Deux réflexions me viennent :
– très avant-gardiste le Mimile qui, à l’époque, comprend déjà qu’il existe aussi des causes d’infertilité masculines !
– je n’avais jamais compris pourquoi on nous parlait de partir en vacances pour tomber enceinte. Maintenant c’est plus clair !
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Merci! Mimile avec nous!
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C’est génial cette article Simone, ça a dû te demander beaucoup de travail. En tout cas, je le trouve très complet, parfait et plein d’humour ! Ca me donne fort envie de la lire cette nouvelle de notre ami Emile. L’Amoureux (prof de Français) me souffle que chez Maupassant aussi on trouve une nouvelle sur l’infertilité (et moi qui pensait avoir lu tout Maupassant ! Je vais essayé de la trouver du coup !)
des bisous !
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Excellent ! Je connaissais une nouvelle de Maupassant assez proche. On faisait aussi manger des huîtres au mari, le beau-père insistant lourdement sur son infertilité. Et c’est un charmant monsieur, divertissant Mme, qui a résolu le problème… Je crois même qu’il y a eu une adaptation dans le format Tv. Il faudrait que ce retrouve cela.
Comme quoi les conseils à la con cela ne date pas d’hier !
– régime alimentaire à changer
– ne pas y penser et se changer les idées…
Merci pour ce très joli post ! Gros boulot Simone !
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alors, je vais profiter de ne pas être une PB pour m’enfiler des huîtres! merci pour le compliment 🙂
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Je publie ce matin un post en ton honneur, Simone ! bisous
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wooww! je le lirai dans la voiture, en route vers la mer 🙂
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c’est en ligne ! Bonne lecture
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merci pour l’info sur la filière Maupassant, si tu trouves la nouvelle, je veux bien que tu m’en donnes le titre. Franchement, je préfère passer mon temps à ça que de gamberger sur mes échecs en PMA… bisous!
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Ceci explique cela :p
Je regarderais mes amies tombées enceintes en vacances d’un autre oeil XD
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on nous avait pas dit qu’il faut partir en vacances ET prendre un amant. On le sait maintenant.
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Ahahahaha j’adore bon sang!!! J’ai une envie de fruits de mer moi 😉 mais avec mon homme!
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Si tu ramènes un bébé-couette du bord de mer, ton homme va se méfier 😉
Bonnes vacances ma Simone. Merci pour cette analyse intéressante et drôle. Je t’embrasse fort.
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Délicieux cet article! Simone et Émile, ça sonne joliment non? Je voudrais qu il sache que ses écrits traversent les époques sans prendre une ride! Merci à toi pour cette pépite!
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Sérieux, je me sens très proche d’Emile, il aurait encore beaucoup à dire sur l’actualité d’aujourd’hui.
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Je te rejoins, je suis tombée amoureuse de lui en lisant Au bonheur des dames (je suis fanatique de tissus, ses descriptions me comblaient), je pense toujours à lui les rares fois où je vais au Bon marché (largement aseptisé par rapport au marketing de la profusion et à la ruche). Bref, la forme a évolué mais le fond reste le même entre son époque et la nôtre…
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L’ensemble de la série des Rougon-Macquart représente un tableau sociologique passionnant de l’époque
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Bonjour
Je découvre à la fois le blog de Simone et la face cachée de Mr Zola : Un ravissement pour le père célibataire/ divorcé que je suis ……Et qui à horreur des fruits de mers lol !
A bientôt
F.
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Bonjour, si vous êtes déjà père, c’est que vous avez déjà trouvé la recette. Amicalement,S.
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J’adore!!! Quelle ironie déjà à cette époque sur les conseils débiles donnés aux couples infertiles! Et quel coquin cet Émile! Merci pour ce très bon article 🙂
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Comme dit tomate très surprenant le fait de pointer l’infertilité masculine
Lecture enrichissante en tout cas.
Biz attention à l’indigestion de moules
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N’ayant lu que l’assomoir, je ne pensais pas que Zola pouvait faire des textes grivois. Très belle étude d’œuvre digne des ICSI pari. Vive les vacances les moules et les grottes!
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Je sens qu’il y a des amateurs d’étude d’oeuvre sur la blogo ! Zola, c’est tout de même plus riche que France Gall … ;-)))
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Génial ton article, j’adore.
N’hésite pas à te faire un bon plateau de fruits de mer.
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Quel talent et quel boulot !
Très bel article.
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merci la Reine!
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Excellent ! J’ai adoré ton article !!
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J’adore Emile moi aussi, je ne connaissais pas cette nouvelle que je vais m’empresser de lire. Ton analyse littéraire est juste succulente et je l’aurais publiée sur mon fb si je n’avais pas peur de me griller avec les commentaires. Je me répète mais putain, t’es bonne Simone 🙂
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Merci Mme PIMPIN! Ça me fait plaisir de parler d’Emile sur la blogo et surtout de constater qu’il touche encore juste
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excellent article… ça me rappelle les analyses littéraires des profs de français que j’écoute chaque jour en cours pendant mon travail ! ! Mais là, c’est sur un sujet qui me touche… Bravo madame Simone ! !
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Merci de ton comm ! Et si les profs de Français en parlaient en classe, ça pourrait mieux toucher les ados ?
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concernant les ados, oui, ça pourrait être une astuce pour les sensibiliser… mais je crois qu’ils sont encore loin de tout ça ; je me souviens d’an dernier, en SVT (biologie), la prof a fait faire un exposé aux 3è dont un sur la PMA, je sais plus le titre exact mais j’étais présente au moment de l’exposé lui-même, ben ça faisait peur, tous les termes que l’on connait par coeur, nous les pmettes étaient mélangés ! ! oh là là ! ! Si j’avais pu intervenir ! !
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Génial !!! (Et bonnes vacances, et bonnes moules !)
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Bravo au grand Emile Zola pour cette nouvelle, mais surtout bravo à toi Simone pour cette excellente étude d’oeuvre …
Je te souhaite très vite de pouvoir relire tous les Rougon-Macquart …
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Merci 😎
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Tu es au top, et ton blog merveilleusement bien écrit. Merci de ce partage !
Des Bisous Simone
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Merci du compliment 🤗
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Merci beaucoup pour cette découverte Simone !
Bon séjour à la mer… Aaah les vacances… coquillages et crustacés…. 😉
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Vu la saison, on reste en pull sur la plage 😎
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ouais….ben… Estelle et Hector aussi… ils ont peut-être gardé le pull sur la plage à l’époque…
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C’est très bon! ^^
Zola n’a t-il pas eu des problèmes de son vivant pour ses « textes pornographiques »?
Comme quoi les gens qui conseillent de se taper des mecs dans les bars n’ont pas complètement tort…
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Je vais creuser cette histoire de texte porno 🤔 … Je veux bien ma taper un mec dans un bar mais faut que ce soit le mien 😝
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C’est qu’ils étaient tatillons avec les sous entendus érotiques à l’époque… 😀
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Excellent! Un vrai régal!
Et bon séjour à la mer.
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Déjà que je kiffais Zola (tu as lu « au bonheur des dames ?) c’est de mieux en mieux !
Bravo et merci 🙂
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Je vais creuser cette histoire de texte porno 🤔 … Je veux bien ma taper un mec dans un bar mais faut que ce soit le mien 😝
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Oui, je l’ai lu, il est top celui-là ! 😏
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Je ne connaissais Zola que de loin, mais j’ai adoré ton article !! Bisous
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Merci, tant mieux si cet article te le fait connaître de plus près ! Bisous
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Visionnaire cet Emile^^ J’ai beaucoup aimé lire Emile, dans ma période collège/lycée je crois, notamment Au bonheur des dames et Germinal et l’Assommoir (enfin dans l’autre sens…).
Bravo pour ce décryptage précis, je ferai tourner à mon mari^^ Bon courage pour la suite des choses^^
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merci beaucoup!
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